29 mars 2007
La balade des pendus. Villon.
Frères humains qui après nous vivez N'ayez les coeurs contre nous endurciz,Car, ce pitié de nous pauvres avez,Dieu en aura plus tost de vous merciz.Vous nous voyez ci, attachés cinq, sixQuant de la chair, que trop avons nourrie,Elle est piéca devorée...